La biométrie sans contact en action

Ces puissants appareils biométriques vérifient l’identité en une seconde, sans contact, et ne demandent presque rien aux utilisateurs. Les algorithmes de dernière génération embarqués dans ces appareils s’appuient sur l’intelligence artificielle pour offrir le plus haut niveau de performance, tant en termes de sécurité que de rapidité.

La biométrie sans contact : un moyen de véritablement contrôler les accès

La grande majorité des entreprises utilisent aujourd’hui des badges d’identification comme une forme de « contrôle d’accès ». Un employé présente son badge pour entrer dans le hall du bâtiment, dans l’ascenseur ou dans une pièce à accès restreint. Mais sans vérification biométrique, ces badges ne permettent pas réellement de contrôler l’accès. Si l’on considère la facilité avec laquelle un badge peut être perdu, volé ou simplement prêté à un collègue, il est clair que les badges ne constituent pas un véritable élément d’identification et de sécurité, mais qu’ils permettent uniquement de contrôler le flux de personnes. La seule façon de véritablement contrôler l’accès est d’intégrer la biométrie. L’empreinte digitale ou le visage de l’employé devient alors son véritable laissez-passer et l’organisation peut être certaine que la personne qui entre est autorisée à le faire. Dans d’autres scénarios, avoir ce niveau de certitude devient encore plus essentiel pour les utilisateurs finaux eux-mêmes, notamment lorsqu’il s’agit d’autoriser l’accès à leur domicile (une tendance en plein essor en Afrique du Sud, au Brésil et aux États-Unis).

Biométrie sans contact : le facteur pratique et la rapidité

Dans le passé, l’ajout de ce niveau de sécurité supplémentaire signifiait inévitablement un ralentissement de l’accès. Avec des capteurs d’empreintes digitales qui ne lisent qu’une empreinte, la vérification peut prendre jusqu’à plusieurs secondes. Ce n’est pas un problème pour autoriser l’accès d’une douzaine d’employés à une zone très restreinte, mais c’est un inconvénient certain lorsque des centaines d’employés arrivent au travail en même temps.

Lorsque l’on ajoute la facilité d’usage et la rapidité à l’équation, en plus de la sécurité et de l’hygiène, l’authentification biométrique sans contact est le seul choix qui vaille. Les dernières technologies de reconnaissance d’empreintes sans contact capturent les données des quatre doigts sous plusieurs angles différents en l’espace d’une seconde et s’appuient sur des algorithmes très performants pour vérifier l’identité d’une personne. Ces appareils peuvent accorder l’accès à pas moins de 50 utilisateurs par minute.

De même, les meilleurs appareils de reconnaissance faciale utilisent un ensemble optique de pointe composé de caméras 2D, 3D et infrarouges pour capturer tous les angles du visage d’une personne. D’un simple coup d’œil, l’accès est accordé, quelles que soient les conditions d’éclairage, la taille de l’utilisateur, l’angle ou les diverses variations de l’apparence d’une personne (chapeau, barbe, lunettes, etc.).

À mesure que l’utilisation de la biométrie se généralise (dans les aéroports, les immeubles de bureaux ou même les immeubles d’habitation), un nombre croissant d’utilisateurs auront la possibilité de faire l’expérience de la biométrie sans contact en action, pour autant qu’ils le souhaitent, et dans le cadre des réglementations applicables en matière de confidentialité et de protection des données, bien entendu.

Un bonus supplémentaire, et très appréciable, de la biométrie sans contact ? Les utilisateurs peuvent tranquillement présenter leur visage ou l’extrémité de leurs doigts sans redouter d’avoir à toucher la même vitre que celle qui a été touchée par des milliers (ou des millions) de personnes avant eux.